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Dans le cadre du collectif Loujna-Tounkaranké, soutenu par l’Agence Française de Développement (AFD), La Cimade a participé à un atelier régional d’échanges organisé par le collectif Loujna-Tounkaranké avec 18 député.es et sénateurs·trices africain·e·s élu·e·s en Algérie, en Côte d’ivoire, au Mali, au Niger, au Sénégal et en Mauritanie sur la question des migrations.
Dans le cadre du collectif Loujna-Tounkaranké, soutenu par l’Agence Française de Développement (AFD), La Cimade a participé à un atelier régional d’échanges organisé par le collectif Loujna-Tounkaranké avec 18 député.es et sénateurs·trices africain·e·s élu·e·s en Algérie, en Côte d’ivoire, au Mali, au Niger, au Sénégal et en Mauritanie sur la question des migrations.
Cet atelier s’est tenu le 26 février à Bamako (Mali) et s’inscrit dans un travail de plusieurs années mené par les associations du collectif de ces pays pour identifier ces parlementaires, prendre contact, les informer et les sensibiliser aux problématiques migratoires nationales et régionales. Ces associations sont l’AME (Mali), AEC (Niger), l’AMDH (Mauritanie), le REMIDEV (Sénégal), la CSCI (Côte d’Ivoire), le GADEM (Maroc), et le RADDH (Algérie).
L’atelier avait pour but de faire rencontrer les parlementaires de ces pays, de les faire échanger et de les mobiliser aux côtés des associations afin de promouvoir des politiques migratoires plus respectueuses des droits humains.
A cette occasion, La Cimade a présenté le fruit du travail collectif mené en 2017 sur la coopération entre l’Union européenne et l’Afrique sur les questions migratoires (Chronique d’un chantage, Décryptage des instruments financiers et politiques de l’Union européenne). D’autres présentations générales sur les migrations en Afrique et les outils juridiques de protection des droits des personnes migrantes ont complété un état des lieux rapide des enjeux. Suite à cela, des échanges productifs ont eu lieu l’après-midi sur le rôle des parlementaires sur ces questions et sur les pistes de travail pour le vote de lois plus protectrices et le contrôle de l’action gouvernementale. Parmi ces propositions, l’élaboration d’un guide d’information à destination des parlementaires, la consultation plus fréquente des associations sur l’impact des lois votées en lien avec la migration ou l’asile, l’interpellation plus fréquente des gouvernements sur les sujets liés aux questions migratoires, etc.
Pour en savoir plus : le Collectif Loujna-Tounkaranké
Auteur: Pôle Europe et International
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