Ecoutez-moi, j’ai quelque chose à dire.
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Mardi 16 février dernier, les députés adoptaient le projet de loi visant à conforter le respect des principes de la République en première lecture. Depuis plus d’un mois, les acteurs du monde associatif se mobilisent et expriment leurs inquiétudes face à un texte qui concerne un ensemble de droits et libertés publiques constitutionnellement et conventionnellement garantis. La Cimade, membre de L.A. Coalition, soutien cette mobilisation.
En imposant aux associations de veiller au respect du principe de « sauvegarde de l’ordre public », via un contrat d’engagement républicain, en facilitant la dissolution d’associations, en venant restreindre leur liberté d’expression, les mesures adoptées viennent gravement entraver les libertés et capacités d’agir des associations.
Nos associations pourront-elles encore, sans risque, soutenir les manifestations de collectifs de sans-papiers ? Accompagner les personnes étrangères en situation irrégulière ? Intervenir dans des squats ? Interpeller les décideurs publics sur les réseaux sociaux et prôner la désobéissance civile non-violente pour porter une autre parole dans l’espace public et enrichir le débat démocratique ?
La pluralité d’opinion et leur libre expression ne devrait pas être considérée comme une atteinte aux principes républicains, mais bien comme la condition nécessaire pour leur protection.
Lundi 15 février, La Cimade était présente en soutien à L.A. Coalition à un point presse organisé devant l’assemblée nationale. Elle appelle également à signer la pétition « loi séparatisme : les libertés associatives en danger !».
Auteur: Service communication
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