
Rétention administrative : le Conseil constitutionnel censure une dérive sécuritaire et confirme les limites de l’enfermement
Communiqué - La Cimade se félicite de la décision du Conseil constitutionnel du 7 août 2025 ...
Plusieurs familles ont été placées en rétention administrative depuis la fin du mois de juillet. La Cimade demande leur remise en liberté et rappelle sa ferme opposition à la présence d’enfants dans les centres et locaux de rétention administrative.
Plusieurs familles ont été placées en rétention administrative depuis la fin du mois de juillet. La Cimade demande leur remise en liberté et rappelle sa ferme opposition à la présence d’enfants dans les centres et locaux de rétention administrative.
Lire le communiqué de presse du 4 août 2009
Au vendredi 7 août,
À Metz, un père de famille a été expulsé vers l’Albanie avec sa fille de 8 ans – scolarisée en France – alors que la mère, plongée dans un profond état de stress du fait de cette situation, avait été placée en hôpital psychiatrique. La famille est donc séparée. Par ailleurs, le père, qui souffre d’une pathologie mentale grave et dont la demande d’asile avait été rejetée, n’est pas en sécurité dans son pays d’origine.
À Toulouse, une mère et sa fille de 18 mois (séparée de son père), ainsi qu’une famille avec leur fille de 13 mois sont toujours en rétention.
À Marseille, une des deux familles arrivées au centre de rétention jeudi 30 juillet a été libérée. Un couple, en France depuis dix ans, et leur fille de 5 ans, sont toujours privés de liberté.
Auteur: Service communication
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