Ce rapport décrit la catastrophe humanitaire et la situation de non-droit qui caractérisaient déjà la condition des exilé·es à la fin de l’année 2019 sur l’île de Samos, l’un des cinq hotspots grecs, avant l’enterrement de l’accord UE-Turquie et l’irruption de la pandémie du COVID 19. Au moment de sa publication, l’actualité confirme que « l’approche hotspots », vantée par la Commission européenne comme une solution pour mettre fin à la « crise migratoire », a bien « engendré un monstre ».
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Auteur: Service communication