Hébergement en Loir-et-Cher : chronique d’une lutte (en cours) pour la dignité
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Toujours dans l’attente d’une protection internationale, les réfugiés du camp de Choucha sont anéantis par le manque de perspectives.
À Choucha, l’un des deux camps implantés par les Nations Unies à la frontière tuniso-libyenne, les 3 800 réfugiés encore sur place ne voient pas le bout du tunnel.
Leur incompréhension face à cette situation de blocage est grandissante, car cela fait bientôt six mois qu’ils survivent dans des conditions déplorables. Si la qualité de vie dans le camp s’est tout de même améliorée depuis le rapatriement de près de 200 000 personnes, le manque de perspectives anéantit ceux toujours présents. Souvent dans l’incapacité de retourner dans leur pays d’origine (Somalie, Érythrée, Darfour, Côte d’Ivoire…) ils attendent désespérément un signe de la communauté internationale qui leur permettrait de se réfugier aux États-Unis, au Canada ou en Europe occidentale. Et c’est là que le bât blesse. Les pays d’accueil restent pour l’heure très frileux. Il est plus qu’urgent que la solidarité internationale des pays occidentaux se manifeste en faveur de ceux qui sont toujours en attente, plus de 6 mois après leur arrivée dans le camp.
Pour en savoir plus, lire l’article publié par El Watan
Auteur: Service communication
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