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3 000 personnes sortantes de prison enfermées en centre de rétention, plus de 300 personnes déférées à partir d’un centre de rétention : les liens n’ont jamais été aussi forts entre ces deux lieux d’enfermement. Analyses et chiffres inédits pour décrypter une politique migratoire menée au détriment des droits fondamentaux des personnes étrangères.
La Cimade constate une institutionnalisation croissante entre les établissements pénitentiaires et les centres de rétention.
Dans la suite du rapport 2018 sur les centres et locaux de rétention administrative, La Cimade publie une analyse statistique sur ces personnes de plus en plus nombreuses à subir des formes d’enfermement successives.
Déjà favorisée par la loi du 7 mars 2916, cette politique de « double enfermement » s’est encore renforcée par l’adoption de la loi du 10 septembre 2018, qui a confirmé la réduction des délais de recours dirigés contre les obligations de quitter le territoire français notifiées aux personnes étrangères détenues. Elle a aussi accru la pénalisation dont ces personnes font l’objet, en créant plus de quarante infractions passibles d’interdiction judiciaire de territoire.
Dans ce rapport, La Cimade constate que, si elle n’a jamais été abolie, la double peine reste une réalité qui n’a jamais été aussi forte
Pour un analyse détaillée des données chiffrées et des constats de La Cimade sur les aller-retours entre prison et rétention, télécharger le document ci-dessous :
» Télécharger le documentAuteur: Responsable national Prison
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